Anime

En ce 1er Avril, je n'ai pas décidé de vous parler de ce que font les Japonais à cette date mais d'un manga, où le personnage principal est né justement ce même jour.

 

Héroïne de son propre manga, et de sa version animée, étalée sur trois saisons diffusées autrefois sur M6, ainsi que plusieurs OAV et films, elle a eu droit à une nouvelle adaptation pour fêter son 20e anniversaire. Alors, vous avez deviné ? Il s'agit de Sakura Kimonoto, héroïne de Card Captor Sakura, du quatuor Clamp à qui l'on doit des oeuvres telles que Chobits, xxxHolic ou plus récemment Gate 7.

 

Depuis quelques jours, l'actualité du titre est absolument partout. Pika édite actuellement le manga original sous un format deluxe, tandis qu'en parallèle l'éditeur sort la suite de la série grâce à l'arc Clear Card. La version animée, de la première série, sortira dans quelques jours chez Black Box, pour la première fois dans une magnifique édition blu-ray ! Enfin, côté streaming, c'est chez Crunchyroll que Sakura s'invite avec la diffusion de la version animée de Clear Card simultanément avec le Japon. De quoi voir la jeune chasseuse de cartes, de partout !

 

Yokai Watch est une des nouvelles licences à succès en France, en digne successeur de Pokémon dans les années 90. Que ce soit en DVD, en manga, en jeu vidéo, en goodies, tout les objets de la licence se vendent comme des petits pains, au Japon, mais aussi en France. 

En plus d'être une série à succès, ce titre est aussi éducatif pour les enfants japonais, leur permettant d'en apprendre plus sur les yokai et yurei, ces fantômes issus du folklore japonais, mais aussi hindoue et chinois, pouvant avoir la forme d'un homme, d'une femme, d'un enfant, mais aussi d'objets, d'animaux ou encore de monstres. 

Et à ce jour, les aventures de Nathan, ou Keita dans sa version originale, ainsi que Whisper et Jibannyan sont toujours suivi par des milliers d'enfants à travers le monde. Et, pour moi, il est tant de faire un zoom sur le phénomène Yokai Watch.

 

Paradise Kiss est une œuvre culte d'Ai Yazawa, à qui l'on doit également le manga NANA. Le titre est disponible depuis de nombreuses années chez nous, en manga, mais aussi en anime. Il a même était le seul titre shôjo à avoir eu droit à une édition physique en DVD chez Kana, à ce jour. 

Paradise Kiss est une véritable référence quand on associe le mot manga et le mot mode. Obligé pour tout les passionné des deux cultures de connaître ce chef d'œuvre et sa célébrissime robe à base de roses de couleur bleue. À côté du sens de la mode de Georges, un des personnages principaux du manga, Cristina Cordula peut aller, sans peine, se rhabiller !

Et si Ai Yazawa ne nous donne plus trop de nouvelles, du notamment à de graves problèmes de santé, rien ne nous empêche, nous, de nous replonger dans un de ces plus beaux titres. 

 

Tout le monde connaît la licence Pokémon, que ce soit à travers les jeux-vidéos, le dessin animé ou encore le jeu de cartes... Et tout le monde connaît aussi l'emblématique Pikachu. Certains connaissent même peut-être d'autres Pokémon, comme Rondoudou ou Miaouss ? Mais à ce jour, il existent plus de 800 Pokémon...

Avec plus de 800 petites et grosses créatures, et plus de 20 ans d'existence, de nombreuses polémiques ont eu lieu, notamment concernant la capture de ces petits monstres... Cela donnerait des idées de chasse dans la vraie vie. Absurde, non ? Après tout, ce n'est pas en jouant à Mario que l'on devient plombier... Ni en jouant à Animal Crossing que l'on décide de vivre sa vie entourée uniquement d'animaux ou encore en jouant à Sonic que l'on peint les hérissons en bleu...

Et si, à la place, Pokémon apprenait aux enfants les animaux ? À travers les 7 générations, de nombreux animaux disparus, tels que le Dodo, le Mammouth ou le Tyrannosaure et d'espèces menacées tel que le Rhinocéros, l'éléphant ou encore la baleine. 

 

Voilà déjà plusieurs semaines qu'un nouvel anime by Netflix est sorti, et que j'entend parler un peu partout sur les réseaux sociaux de lui, en bien ou en mal. Devilman Crybaby, tel est son nom. Je sais peu de chose sur Devilman, si ce n'est que c'est un manga assez culte au Japon, créé par Go Nagaï. Mais, pour tout vous dire, j'ai assez de mal à accrocher avec les titres de cet auteur, et seul la licence Cutey Honey m'avait réellement intéressé. J'avais eu la chance de tomber sur des vieilles VHS, d'une des séries, Shin Cutey Honey, ainsi que le film live, édité il y a quelques années

Devilman ? Oui, je connais de nom. Mais comme bon nombre de titres de cet auteur, il ne m'intéressait pas. Pas plus qu'un Goldorak, et autre licence dont il est le créateur. En revanche, il faut avouer que c'est un grand monsieur dans le monde du manga, et, qu'on aime ou pas ces oeuvres, personne ne pourra le nier.

Pourtant, à force d'entendre parler de cette version, de ce nouvel anime, que la tentation m'est venue. Je m'y suis mis, et hônnetement, je ne regrette absolument pas mon choix. Une petite journée m'a suffit pour boucler cet anime. Dix épisodes, c'est relativement court, donc ça passe bien, un dimanche après-midi pour glandouyer. Et du coup, je précise que, ne connaissans pas la première adaptation de Devilman, je ne jugerais pas en fonction de celle-ci ou du manga, mais juste, en tant que spectateur du programme Netflix.

 

L'année prochaine, le manga Gals fêtera son 20e anniversaire. Histoire pour moi de revenir sur un titre bien trop méconnu en France malgré sa publication dans son intégralité via Pika éditions, ainsi que la sortie de sa version animée via IDP. 

Si, à première vue, le manga ne m'intéressait, j'ai étais cependant assez curieux pour regarder sa version animée. Et bien qu'hésitant au début, le titre fut un véritable coup de cœur. Des personnages attachants, drôles, mais aussi avec des histoires lourdes, parlant de gangs et d'escortes, bien loin de l'univers des Gals, au Japon. 

Mais d'ailleurs, c'est quoi une gals ? Les gals, aussi appelées kogaru, sont des jeunes filles, bien souvent des collégiennes et des lycéennes, ayant un style de vie bien à eux. Trainant dans les quartiers chiques des grandes villes, tels que Shibuya, Ikebukuro ou Akihabara, dans les centres commerciaux, et plus principalement les grandes enseignes de vêtements à la mode, elles abordent, pour beaucoup, un look bien à elles. Cheveux décolorés, peau pouvant être artificiellement bronzée, maquillée, vêtements colorés et tendances, bijoux et sacs voyants et hors de prix, voilà à quoi doit ressembler une gals. Mais une gals ne doit en rien être vulgaire dans sa façon de s'habiller. 

 

Il y a deux ans, Dybex annonçait l'arrivée de la série Yū Yū Hakusho en Blu-ray. Un réel plaisir donc de retrouver cette série, qui, autrefois, était diffusée à la télévision, et qui avait déjà eu droit à de multiples éditions en version DVD. 

L'année dernière, la version animée fêtait son 25e anniversaire, tandis que le manga lui fêtait son 27e anniversaire, et, était pour moi le moment de me replonger au cœur même de cette merveilleuse aventure, en compagnie de Yusuke, Botane, Keiko, Kuwabara et les autres dans leur combat pour protéger le monde des humains, mais aussi le monde spirituel. 

Bien qu'en France, Yoshihiro Togashi, l'auteur, est principalement connu pour Hunter X Hunter, il ne faut pas oublier qu'au Japon, Yū Yū Hakusho était son premier titre phare. 

 

Les Jeux Olympiques de 2 020 se passeront à Tokyo, et qui dit Tokyo dit Japon. Et qui dit Japon dit manga (enfin, normalement non, mais là, on va dire que oui). Il était donc logique de voir que les ambassadeurs des JO de 2 020 soient des personnages tirés de manga cultes au Japon. C'est prêt de 9 personnages qui deviendront ainsi les égéries officielles de la ville de Tokyo. Pas besoin de présenter Son Gôku, Astro Boy, Luffy, Naruto ou encore Usagi de Sailor Moon. Et si toutes les œuvres présentes sont bien connues en France, une, en revanche, se trouve moins l'être. Il s'agit de Crayon Shin-Chan. Le petit garçon au t-shirt rouge et au short jaune. Pourtant au Japon, Shin-Chan est un véritable phénomène et le manga existe depuis plus de 25 ans !

 

Pourtant interdit de diffusion en Inde, déconseillé au moins de 19 ans en Corée du Sud, interrompu au Brésil et hyper censuré en Europe, mais de quoi parle donc ce manga ? Pourquoi fait-il scandale dans le reste du monde ? Est-il réellement déconseillé aux plus jeunes ? Est-il violent, érotique, voir même les deux ? Absolument pas. 

 

Gambling School est un tout nouvel anime diffusé en France par Netflix. Cet anime est très vite devenu un de mes coups de cœur. Que ce soit au niveau des graphismes de la série, avec des visages hyper détaillés quand cela en est nécessaire, avec notamment les scènes de colère, de folie ou de jouissement, ainsi que l'histoire, avec des personnages qui se battent pour s'assurer un avenir meilleur m'a directement fait accrocher à cette série. 

Yumeko Jabami débarque au sein de l'académie privée Hyakkaö, qui abrite les collégiens et les lycéens les plus riches du Japon. Mais cette académie n'est pas comme toutes les autres, ici les élèves ne sont pas jugés sur leurs notes, mais sur leur chance au jeu de hasard. Tous se battent pour remporter la plus grosse fortune, quitte à parier leur vie. 

 

Les œuvres de Rumiko Takahashi maudites en France ?

Rumiko Takahashi est une auteure de manga bien connu à travers le monde, grâce à ces nombreux titres populaires tels que Inuyasha, Ranma ½ ou encore Rin-ne, pourtant en France, les animes tirés des œuvres de cette grande dame ont un succès plutôt mitigé. Pourquoi un titre comme Lamu est-il, malgré les efforts des divers éditeurs, tombé dans l'oubli ? Pourquoi InuYasha n'a t'il pas trouvé son public en France ? Ou encore pourquoi Juliette, je t'aime a t'il failli ne jamais voir le jour dans son intégralité ? C'est à toutes ces questions que nous allons tenter de donner une réponse. 

Avant de nous lancer dans le vif du sujet, un petit résumé de la vie et des œuvres de Rumiko Takahashi s'impose.